Fermes agricoles verticales projets futuristes
Ce projet, appelé en anglais Seawater Vertical Farm, est l’œuvred’un cabinet d’architecture italien, Studio Mobile, habitué àtravailler avec l’émirat. Si Dubaï, en ces temps de crise, ne manquecertainement pas de bureaux et de logements, elle manque en revanchedans un périmètre restreint de ressources agricoles. La ville del’émirat éponyme est en effet plus cernée par le désert que par lesvergers et autres types de cultures.
Etcomme Dubaï a l’habitude de prendre les choses de haut, Studio Mobile acogité sur un projet vertical plutôt qu’horizontal. Où bien sûr il estquestion d’une tour, dont la silhouette s’apparente à celle d’un arbrechargé de fruits. Des fruits qui sont autant de serres suspendues.
Techniquement, c’est la mer, située à proximité, qui va permettre defaire pousser salades, carottes et autres légumes en plein désert. Mêmes’il n’est pas question d’arroser les plantes avec de l’eau salée. Lemiracle, on le doit plutôt a un ingénieux système d’évaporation et decondensation.
L’eau de mer est utilisée dans un premier tempspour refroidir la terre de culture, et du même coup l’air ambiant.C’est la différence de température entre cet air ambiant et celle dutoit de la serre suspendue qui va générer une condensation. Lesgouttelettes d’eau ainsi obtenues vont alors ruisseler doucement audessus des cultures et s’écouler petit à petit.
La Seawater Vertical Farm n’est qu’un projet pour l’instant, maiselle s’inscrit dans la volonté de Dubaï de faire construire ce type destructure. Tout comme d’autres villes dans le monde. Le concept a sespartisans, dont le plus connu est Dickson Despommier (le bien nommé).L’homme y voit une réponse à la fois écologique et économique auproblème de surpopulation de la planète à l’horizon 2050.
Dans 50ans, on estime que la population mondiale dépassera 8,3 milliardsd’êtres humains et qu’il n’y aura plus assez de terres cultivées sur laplanète pour nourrir cette population. Une des solutions envisagées auproblème de l’alimentation est la construction de fermes verticales aucœur des villes.
Les enjeux de ce projet
Aujourd’hui, notre planète compte environ 6,4 milliards d’individuset l’agriculture utilise plus de 800 millions d’hectares, soit près de38% de la surface de la Terre.
Avec l’augmentation prévisible de la population mondiale d’ici à 50ans et le développement des villes, les terres cultivées telles quenous les connaissons aujourd’hui ne suffiront plus à nous nourrir.
Pour répondre à cette crise alimentaire, une solution originale est envisagée : les fermes verticales.
Un concept futuriste
Techniquement, c’est la mer, située à proximité, qui va permettre defaire pousser salades, carottes et autres légumes en plein désert. Mêmes’il n’est pas question d’arroser les plantes avec de l’eau salée. Lemiracle, on le doit plutôt a un ingénieux système d’évaporation et decondensation.
L’eau de mer est utilisée dans un premier tempspour refroidir la terre de culture, et du même coup l’air ambiant.C’est la différence de température entre cet air ambiant et celle dutoit de la serre suspendue qui va générer une condensation. Lesgouttelettes d’eau ainsi obtenues vont alors ruisseler doucement audessus des cultures et s’écouler petit à petit.
La Seawater Vertical Farm n’est qu’un projet pour l’instant, maiselle s’inscrit dans la volonté de Dubaï de faire construire ce type destructure. Tout comme d’autres villes dans le monde. Le concept a sespartisans, dont le plus connu est Dickson Despommier (le bien nommé).L’homme y voit une réponse à la fois écologique et économique auproblème de surpopulation de la planète à l’horizon 2050.
Dans 50ans, on estime que la population mondiale dépassera 8,3 milliardsd’êtres humains et qu’il n’y aura plus assez de terres cultivées sur laplanète pour nourrir cette population. Une des solutions envisagées auproblème de l’alimentation est la construction de fermes verticales aucœur des villes.
Les enjeux de ce projet
Aujourd’hui, notre planète compte environ 6,4 milliards d’individuset l’agriculture utilise plus de 800 millions d’hectares, soit près de38% de la surface de la Terre.
Avec l’augmentation prévisible de la population mondiale d’ici à 50ans et le développement des villes, les terres cultivées telles quenous les connaissons aujourd’hui ne suffiront plus à nous nourrir.
Pour répondre à cette crise alimentaire, une solution originale est envisagée : les fermes verticales.
Un concept futuriste
L’inventeur du concept de ferme verticale est l’Américain DicksonDespommier, professeur en sciences environnementales et microbiologie àla Columbia University de New York.
Son projet de fermes verticales consiste en de grandes Tours destinéesà accueillir des exploitations agricoles au sein même des métropoles.
Selon Dickson Despommier, chaque tour coûterait environ 84 millionsde dollars mais permettrait de subvenir aux besoins de près de 50.000personnes.
Ainsi, 150 Tours de cette sorte permettraient de nourrir toute la population de New-York.
Ces fermes du futur seraient donc une solution possible aux problèmes de faim dans le monde et au manque de terres cultivables.
Les projets de fermes verticales
Les fermes verticales imaginées par Dickson Despommier auraient unehauteur d’au moins 200 mètres (entre 30 et 40 étages) et seraiententièrement dédiées à la production agricole, ainsi qu’à l’élevage deporcs et de volailles.
Elles permettraient de produire des fruits et légumes par culturehydroponique, mais aussi de cultiver du maïs ou du blé et d’abriter desélevages aux étages inférieurs.
Selon leur concepteur, ces fermes offriraient un rendement 5 à 30fois supérieur à l’agriculture actuelle et auraient plusieurs avantages:
• des récepteurs situés dans le plafond des étages pourraientrecueillir l’évapotranspiration des plantes pour produire de l’eau pure
• les sous-sols pourraient servir au traitement des eaux usées en accueillant une unité de traitement des eaux
• en fonctionnant en système fermé, sans approvisionnement extérieur demarchandises, ces Tours agricoles permettraient de limiter la pollution.
Néanmoins, ce concept en est encore au stade de projet. Aucun de ces buildings agricoles n’a encore été construit…
Un autre projet mené par le cabinet d’architectes français SOA estla Tour Vivante. Il s’agit d’une tour haute de 30 étages accueillant unprogramme mixte d’activités (ferme urbaine verticale et bureaux) et delogements
Son projet de fermes verticales consiste en de grandes Tours destinéesà accueillir des exploitations agricoles au sein même des métropoles.
Selon Dickson Despommier, chaque tour coûterait environ 84 millionsde dollars mais permettrait de subvenir aux besoins de près de 50.000personnes.
Ainsi, 150 Tours de cette sorte permettraient de nourrir toute la population de New-York.
Ces fermes du futur seraient donc une solution possible aux problèmes de faim dans le monde et au manque de terres cultivables.
Les projets de fermes verticales
Les fermes verticales imaginées par Dickson Despommier auraient unehauteur d’au moins 200 mètres (entre 30 et 40 étages) et seraiententièrement dédiées à la production agricole, ainsi qu’à l’élevage deporcs et de volailles.
Elles permettraient de produire des fruits et légumes par culturehydroponique, mais aussi de cultiver du maïs ou du blé et d’abriter desélevages aux étages inférieurs.
Selon leur concepteur, ces fermes offriraient un rendement 5 à 30fois supérieur à l’agriculture actuelle et auraient plusieurs avantages:
• des récepteurs situés dans le plafond des étages pourraientrecueillir l’évapotranspiration des plantes pour produire de l’eau pure
• les sous-sols pourraient servir au traitement des eaux usées en accueillant une unité de traitement des eaux
• en fonctionnant en système fermé, sans approvisionnement extérieur demarchandises, ces Tours agricoles permettraient de limiter la pollution.
Néanmoins, ce concept en est encore au stade de projet. Aucun de ces buildings agricoles n’a encore été construit…
Un autre projet mené par le cabinet d’architectes français SOA estla Tour Vivante. Il s’agit d’une tour haute de 30 étages accueillant unprogramme mixte d’activités (ferme urbaine verticale et bureaux) et delogements